- Mon doux Jésus, qu’est-ce que tu penses de Versailles ?
- Je déteste Versailles: Louis XIV n’a pas conçu de toilettes pour qu’on puisse s’épancher en toute intimité, les salles s’enfilent à l’accolade le long d’un couloir, comme s’il s’agissait de décors de théâtre dans lesquels se jouent les pires intrigues, le carré brute de sa façade ressemble à un HLM 1ère génération, son jardin tiré à quatre épingles est trop bien rangé. La rigidité des lieux me fait fuir et en général, je déteste les châteaux, alors ne me demande pas ce que j ‘en pense. Je préfère les châteaux de sables. A suivre
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L’enfant : « - Ils font quoi dans cet entonnoir ? » Le père : « - C’est rien. C’est des hommes. Ils sont perdus. » ________________________________ Toi, mon mec, avec cette femme dans la rue : - Vous avez la même barbe. - Vous avez les mêmes cheveux. - Vous avez la même poitrine. C’est-à-dire que vous hurlez pareil, dans votre poitrine. Je suis le Dr C. J’ai entrepris des études en France pendant 13 ans pour avoir la mention de psychiatre. 13 années de diète, de misère, les lunettes plongées dans le Vidal. Je connais tout de la maladie psychiatrique, en particulier que les patients sont souvent mégalomaniaque. Je cherche, quant à moi, une issue pour me défaire de la frustration de n’avoir pas vu le Soleil pendant ces 13 ans. Aujourd’hui, j’ai une place à conquérir et j’espère que les patients vont se laisser faire. Je suis jeune psychiatre et je suis un peu dérouté par la répartie que mes congénères de patients plus âgés que moi, ont vis-àvis de moi. De toute façon, il est facile de les contrer, car j’ai les statistiques pour moi et les termes usités par ma congrégation. Je n’ai pas pris le temps de prendre du recul sur ce que j ‘ai appris ; trop occupé à valider mes connaissances aux examens. J’ai une mémoire d’éléphant et je sais dans quelle case/catégorie établir un patient. Je connais tout le lexique des termes, mais il n’est pas nécessaire que je vous en abreuve, car j’ai fait le serment d’hypocrate de ne pas divulguer les termes des penchants des patients répertoriés par notre société secrète. Mais il faut vite que je montre ma supériorité au risque d’être déstabilisé, quitte à me montrer en femme modèle affublée de très beau habits. Au moins maintenant, j’ai la supériorité numéraire, car je gagne bien ma vie. D’ailleurs, j’ai entrepris de me faire bâtir une maison sur le modèle de la maison blanche de Washington. Là, je pourrais, dans ce hâvre, me parfaire en le maître des United State of America. C’est le moins que je puisse faire après les délires que je rencontre chaque jour dans ma vie professionnelle. Car au fur et à mesure que je rentre dans ce métier, j’acquière la certitude d’une convenance à établir. Le moralisime est de bienséance . Je flirte maintenant avec les curés. Je suis pire que les curés. Je suis la cure !
Voici le plan d’attaque de nos gouvernements :
Puisque les agriculteurs seront massacrés par la grande distribution, car cette grande distribution a décidé de fournir les meilleurs produits de France et de Navarre à bas prix. Puisque les agriculteurs seront laminés par les prix cassés que décidera cette grande distribution. Puisque tous les restaurateurs/ travailleurs indépendants/ professions libérales n’ont aucune protection en cas de dépôt de bilan. Puisque tous ces citoyens indépendants seront sans ressources. Puisque toutes les terres de France appartiendront à Véolia et appartiennent déjà en majorité à Véolia. Puisqu’il n’y aura plus aucune liberté ni d’intimité à cause des compteurs Linkies et des puces GPS qui seront mises dans les vaccins. Puisque ces gouvernements veulent la vie entière sur tous les médias. Puisque le corona virus a été sciemment introduit par ces gouvernements. Il en résulte qu’ à la fin, il n’y aura personne pour produire quoique ce soit et le gouvernement a décidé pour la France une grande famine, puisqu’ils veulent liquider la population qu’ils jugent trop nombreuse ou alors nous seront tous soumis(es) au dictat des États. ----------------------------------------------------------------------------------------------------- La sucrerie Je lance sur le web tous mes petits sucres... _________________________________________________ été 1994: La mort avait rodé. Je n'ai plus d'enfant. Je n'ai plus d'enfant. ____________________________________________________ 2002: Je me souviens, il relevait toujours ses manches, il ouvrait ses poings, et là, une fleur apparaissait, qui s'ouvrait. Son métier était celui d'un Arsène Lupin, ou d'un sage, dont il ne se targuait, jamais. En coureur fou, il faisait montre d'empathie, pour tous ceux qui restaient à la traîne, n'étant jamais lui-même Ad-hoc. Bien que dissipé, il avait sa propre discipline, difficile à orienter. Sachant qu'il allait toujours à l'échafeau, il n'apparaissait, jamais, mégalo. Mais, là, où s'arrête ce ramage, c'est qu'il n'avait pas de plumage. Car aussi dur qu'il le pouvait, il pouvait ne pas être un ange, mais un orage et n'être tendre qu'avec moi. ____________________________________________________ 2009: Il ne guérira plus ces gens fondés sur la fusillade et la guerre entretenues. _____________________________________________________ 2008: Tu ne t'attendais pas à cette vague de cette brutalité là. C'est comme une orange qu'on épluche. _____________________________________________________ Je viens en remueuse et remuée et en sauvée. ________________________________________________________ Il n'y a pas d’occurrence, de tronc commun, dans l'obscurité de nos attachements. _________________________________________________________ Se calmez-vous, tais-toi la nébuleuse! La ligne 120 est un préalable à France Cafard. ____________________________________________________ Place de la Terre, je suis entre tes mains. ______________________________________________ L'être est un désert de kyrielles de songes. Me voici transformée en Somalie. _________________________________________________ Je ne suis pas issue de tous ces savoirs qui mènent à l'amour. J'ai reçu une piqûre de l'excision. _________________________________________________ Retranchée dans ma grotte, je suis au diapason, à rêver d'un irréalisé Noël! J'accorderai la saison d'hiver, au rythme d'une chanson, pour les vaches, les veaux, les chèvres, au milieu des moutons! __________________________________________ Le Soleil, s'il indice des yeux, je le suivrai. _____________________ Au clair de la Lune, le Soleil ranime ton chagrin, pour guérir tes blessures, pour demain, demain matin. ________________________________ Tu flottes comme une Europe. _________________________ Elle a les océans, elle respire un peu mal, le désert. ________________________________________ Tu es un arbitre, indispensable à la République. ( Le clan des étreints, restreints. Le clan des investis, croupis, tapis.) _______________________________________ Il fait jour dans le plat du pays: fenouil, haricots rouges, poireaux, en wok. _______________________________________________________ Celui qui est vraiment vrai, est celui qui n'est pas respectable. _____________________________________________________ Comment fais-tu pour oublier les événements d'hier? Je suis sclérosée du derrière: je suis incapable d'engendrer légitimement! _________________________________________________________ Dans chaque cueillette, il y a... des chips. _______________________________________________ On a tous été mangé à la civilisation; on peut se lamenter. D'un niveau supérieur, nous sortons des civilisations, au niveau des cultures. ________________________________________________________ C'est donc, en ne sachant plus jamais que faire, que tu t'abandonneras. _________________________________________ 1,5 milliard de chinois, c’est un bahut totalement dézingué. __________________________________________ La lutte sociale des classes dirigeantes et de leur peuple ; ce sera un grand procès. ______________________________ Les arabes connaissent les lois du langage, de la liberté surveillée. __________________________________________________ Je suis tu es il/elle est nous sommes vous êtes il/elles sont devraient se mettre autour du cadre législatif. ____________________________________________________ Petit à petit chacun pour un, ou pour une, acquière des biens inestimables. _______________________ Année 2014 : La vie est très dense, c’est très dur. C’est comme s’il n’y avait pas eu d’expérience humaine. ______________________________________________ Le monde en politique ? Il faut des pêches et des dépêches, n’empêche, ce n’est pas de la tarte, et les gens réclament ce jeu d’Abraharacourcix. ___________________________________________________ Cette fois c’est toi qui est dans l’azur. Ne tombe pas là-bas, c’est trop dur. __________________ Ton histoire est ontologique. ________________ Il ne faut plus avoir de principes, mais être tout le temps évasion. Mais ça, ça n’existe que moi. ________________________________ Tu es une distinction pour la planète ! ________________________ Toi qui vis dans la poussière Quand tu t'abandonnes à la lumière C'est la madone que tu rejoins. ___________________________ Les gens ne donnent que le signal de guerre. ________________________________________ « Madame » place les mémoires cruelles au placard. ___________________________________________________________ C’est important d’être au monde et d’être aimé. ___________________ Je te donnerai trois petites pommes, ma maman, ma pomme, mon canasson. ______________________________________________ Mieux vaut regarder le Soleil ? Ou regarder le chant du Soleil, qui chante dans tes yeux ? ____________________________________ C’est très bien de se rappeler des goûts de nos grand-pères et grand-mères car, c’est important pour la vie, de se prolonger au-delà de l’existence. ___________________________________________ Si, ça se consiste en rapporter, si ça se consiste en rapporter, le boom d’un cœur ! ____________________________________ Vous n’allez pas sur les échasses, sous les mers, en hautes montagnes ? __________________________________________________ 2016 : L’étoile des Jeanne est déjà arrivée. ________________________________________________ Seuls les actes gratuits sont déclencheurs de témérités et de vocations. ____________________________________ C est l’heure du repos, du voyageur d’airain. __________________________________________________ Hollande participe au fond International de la duperie. _____________________________________________________________ Je n’en sais plus, Clément, je l’aime tellement. ___________________________ Elle était chiante, la merde de tes oiseaux. _____________________________ ça m’a surprise, votre intrusion dans ma vie pour m’aider. Ça veut dire : « votre monde est mauvais ». ______________________________________________ Je prie pour me facilité la vie, et ensuite, je prie pour la complimenter. ______________________________________________ 2018 : Le doux commence par vivre. _________________________________ Je suis objective de paroles et gros de relaying. _____________________________________________________ Le dépouillateur des travers, ce sont les grandes solitudes. _________________________________________________ Un long stage dans la marge. Les zaccumulations… _________________________________ Détruire l’O.MC., le F.M.I., c’est une connerie. On ne tue pas la poule aux œufs d’or. ...Création de salaires, sauf… __________________________________________________ Il faut plus classer l’argent que le compter. _____________________________________________________ MOI Léna, Je ne suis qu’un Empire tous les jours. Quels sont les principes fondateurs ? Les règles du jeu ? De l’économie mondiale ? Ce n ‘est pas exceptionnel, mais vide abyssal par rapport à une déréglementation mené par Reagan.
Temps de se mettre d’accord sur un accord de principe qui satisfasse tout le monde. Chacun fait sa cuisine dans son coin, mais pas de compatibilités les uns avec les autres. A qui sommes-nous soumis ? A quoi sommes-nous soumis ? Faut-il se soumettre à 8 personnes dans le monde ? Nous sommes des milliards. Où est la balance ? Qui tire les règles du jeu ? Que faire ? Vers quoi va-t-on ? Vers du négatif ou faut-il relever la barre, pour aller vers du positif ? Où est le gouvernail ? Qui dirige qui ? Doit-on… Aïe, aïe, aïe… Nos gouvernants nous servent-ils ou se servent-ils de nous ? L’économie doit-elle être au centre ou à la périphérie ? Le travail est-il le moyen ou un auxiliaire ? La propriété est-elle un but ou un emprisonnement ? Peut-on faire disparaître l’argent ? Le fruit est mur quand on le mange ou pourrie-t-il avant d’être mangé ? Est-on libre ? Qui manipule ? Qui détient le pouvoir ? Quelle est la loi nouvelle des relations humaines ? Merci pour ces commentaires qui apportent de la vie à ce site, cela fait plaisir ! Léna ----------------------------------------------------- Ai regardé tes dessins. Quelques commentaires, sans se poser de questions. Il y aurait beaucoup plus à dire, car il y en a beaucoup... Il faudrait prendre dessin par dessin... Il y a une unité de style : il y aurait à en parler, pour discerner l'influence de la part propre à ta singularité. Mais déjà quelques commentaires d'impressions. Galerie 1, de 15 dessins. Couleurs très tendres et dégradés nuancés : ce qui vient à l'esprit en premier lieu. Chacun illustre une histoire potentielle. Pas d'agressivité, sauf peut-être 2° image du 3° rang, mais une sorte d'indifférence des personnages. De solitudes juxatposées : la gare, 2° rang, 1°image. Mouvements arrêtés, ralentissant un peu le temps... Galerie 2, de 24 dessins. Personnes souvent de profil. Ne regardent pas, ne recherchent pas de contact. Tout semble silencieux. Les premières rangées sont plus colorées. Agressivité des motos. On dirait que tout se grise rangée 5. L'image 2 rang 5 est curieuse ; même impression de mouvement rang 6 image 1, même genre mais plus gai, mais solitude, une personne peut-être. Il n'y a plus trop de sympathie jusqu'au bas de page ; solitudes plutôt. Galerie 3, de 23. dessins. On retrouve dans l'ensemble des couleurs plus tendres, comme galerie 1. Un voyage voiture, solitaire. Des gens souriants, rang 3 image 3. Les gens regardent peu ; ou alors il y a un masque. Les couleurs sont pour autant très belles, très douces... A suivre ?... Par Bernard -------------------------------------------------------- Galerie 3. Le ciel et la terre en miroir. Comme venue du ciel par une route périlleuse, la vie, sa douleur et sa fécondité sur une terre difficile. Des couleurs magnifiques. La contemplation de chaque dessin peut se faire à l'infini. Simplicité, profondeur et beauté. Chaque dessin est un poème sur la vie. Chacun me touche. Merci. Par Florence --------------------------------------------------------- Une œuvre profondément humaniste où se mêlent passé et présent, moderne et ancien, guerre et paix, ruine et construction, sédentarité et transhumance, enfer et paradis, Ève et Adam. Et en haut, le soleil. La pyramide. A continuer. Par Pierre ------------------------------------------------------------ Bonjour, J'aime beaucoup vos couleurs. L’œuvre que je préfère est dans la galerie 3 : le dernier dessin. Motifs orientaux et le reflet des couleurs dans l'eau. Bien à vous, Par Hervé -------------------------------------------------------------- Bravo pour tes dessins qui sont fantastiques ... Par silvain --------------------------------------------------------------- En partenariat avec le Festival interceltique, la ville de Lanester met chaque été un artiste breton contemporain à l'honneur, cette exposition estivale sera dédiée à Catherine Raoulas
Retrouvez le programme de l’association Lieu Noir Lieu Jaune qui a pour vocation d’être un lieu de création artistique au cœur des ports de Lorient, d’y offrir un lieu d’accueil, de rencontres et d’échanges, et d’accompagner et d’organiser des événements artistiques, culturels, maritimes : http://lieunoirlieujaune.net Le site de Catherine Raoulas : http://catherineraoulas.net Rendez-vous galerie d'art au cœur de l'Hôtel de Ville de Lanester du 11 juillet au 3 septembre ! Je suis toujours émerveillée devant les peintures et gravures de Claude Huart, surtout lorsque la nature est représentée comme une explosion de joie et de couleurs.
Un portrait de l'artiste sur cette page : http://lafabutineuse.com/2015/08/une-belle-rencontre-lartiste-claude-huart.html |
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